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Me Anoja RAJAT a suivi tout son cursus universitaire à la Faculté de Droit de Strasbourg. Après une maitrise de droit privé, elle est diplômée en Etudes approfondies en Sciences criminelles, avec mention.
Elle prête serment au Barreau en janvier 2006.
Elle rejoint d’abord le cabinet d’avocats ASKEA à Strasbourg, où elle est chargée d’un portefeuille de clients composé de compagnies d’assurances et d’assurés. Pour leur compte, elle œuvre en droit de la réparation corporelle et en droit de la construction. Remarquée préalablement lors d’un stage, le Cabinet SOLER-COUTEAUX/LLORENS lui propose de rejoindre en 2007 son département de droit privé.
Dès son arrivée, elle prend en charge les dossiers intéressants de grands groupes de constructeurs et de promotions immobilières, des bailleurs sociaux ou privés, des assureurs, des collectivités publiques, des établissements publics comme privés et des particuliers.
Elle devient rapidement un interlocuteur privilégié des clients et enrichit pendant plus de dix ans son savoir-faire en droit immobilier et en droit des affaires.
In fine, devenue responsable du département de droit privé, elle sera chargée de former de jeunes avocats collaborateurs et de superviser leurs dossiers.
Dans la volonté de préserver une relation privilégiée avec ses clients et forte de ses diverses expériences, elle décide de créer son propre cabinet.
Depuis, elle s’emploie à délivrer à ses clients composés notamment de sociétés, de banques et de particuliers des préconisations juridiques claires et pratiques.
Me Anoja RAJAT est également chargée d’enseignement en droit de la construction (INSA de Strasbourg – Institut National des Sciences Appliquées – formation à destination de futurs architectes et ingénieurs), en gestion immobilière (CIFAL – Centre interprofessionnel de formation), en droit de la responsabilité médicale et en droit de la famille (Ecole de Sages-femmes de Strasbourg).
Enfin, elle prend part à des publications ou des entretiens juridiques (Lexisnexis, Semaine Juridique Générale – 2 décembre 2013, n°49 : « L’intimé ayant négligé de former appel incident ne peut relever appel principal contre le jugement, même non signifié »/ Participation au colloque sur le secret médical – Formation Continue Université de Strasbourg – 2015).